Mises à jour coffret 4




Rando n° 25 - Colfontaine








1e section, 5e volet de la fiche.
Texte publié :
"On parvient à un carrefour. On vire à gauche, et, une cinquantaine de mètres plus loin, juste après la maison n° 1b, on s'engage à droite sur un discret petit sentier, le sentier de Saint-Ghislain. Il longe un champ..."

Situation en juillet 2012 :
Par suite des conditions climatiques, de hautes herbes recouvrent le sentier. On peut longer celui-ci en prenant pied sur le champ.


1e section, 5e volet de la fiche.
Texte publié :
"Au carrefour avant le terril voisin (le terril du Grand Buisson), on tourne à droite (l'interdiction affichée pour des raisons de sécurité s'applique à l'accès au terril, non au passage sur le chemin qui longe celui-ci ; le panneau placé à l'autre extrémité du chemin le confirmera)."

Situation en mai 2016 :
Ces panneaux ont été enlevés.


1e section, 5e volet de la fiche.
Texte publié :
"On dépasse une barrière, on néglige un chemin à droite, et à l'embranchement tout proche on tourne à droite sur un petit chemin qui va se révéler caillouteux."

Situation en mai 2016 :
Ce chemin "caillouteux" a été élargi et asphalté.


1e section, 6e volet de la fiche.
Texte publié :
"On traverse ensuite le site de l'ancien chemin de fer, aménagé en promenade, et l'on quitte aussitôt l'asphalte pour continuer tout droit sur un sentier herbeux discret, rectiligne, entre deux champs."

Situation en juillet 2012 :
Par suite des conditions climatiques, de hautes herbes recouvrent le sentier, sans gêner le passage. On rencontre quelques orties.


2e section, 7e volet de la fiche.
Texte publié :
"Quelques dizaines de mètres avant une maison dont on voit le pignon, on vire à droite sur un chemin qui présente de profondes ornières (balise : marquage GR)."

Situation en juillet 2012 :
Ce chemin a été élargi et empierré. Ne pas oublier de tourner à gauche après 200 mètres !


2e section, 8e volet de la fiche.
Texte publié :
"Pour gravir le terril, il faut quitter le chemin, passer sous la haute structure de béton, et poursuivre par un sentier en montée qui démarre juste en face (balise : marquage GR)."

Situation en mai 2016 :
Le marquage GR a disparu.


2e section, 8e volet de la fiche.
Texte publié :
"En face de nous, une taverne brasserie : "La Saline".
L'accueil y était cordial. On pouvait y déguster une bière locale : "La Cuvée d'Amélie" (ambrée, 8,5 % vol.) Mais voilà : l'établissement est fermé depuis fin 2008… Peut-être aura-t-il été repris entre-temps ?"

Situation en juillet 2012 :
L'établissement est rouvert.


3e section, 9e volet de la fiche.
Texte publié :
"On passe devant le cimetière de Petit Dour, puis on dépasse un hameau, et l'asphalte fait place à un chemin, qui devient rapidement sentier, et qui se dirige vers le bois."

Situation en mai 2016 :
On passe devant le cimetière de Petit Dour, puis on dépasse un hameau, et l'asphalte fait place à un chemin, qui devient rapidement sentier, et qui se dirige vers le bois.
On contourne une barrière, on continue tout droit en descente.


3e section, 9e volet de la fiche.
Texte publié :
"Plus haut, le chemin tourne vers la gauche (balise : rectangle vert N 2000 sur support en bois).
Un peu plus loin, on néglige une voie à gauche, une autre à droite. Le chemin vire ensuite à droite, creusé d'ornières profondes.
Selon l'état du chemin, il peut être plus intéressant de marcher parallèlement à celui-ci, le plus souvent sur la gauche."

Situation en mai 2016 :
Plus haut, le chemin tourne vers la gauche (balise : rectangle vert N 2000 sur support en bois, placée en sens inverse).
Un peu plus loin, on néglige une voie à gauche, une autre à droite. Le chemin vire ensuite à droite, creusé d'ornières profondes.
Selon l'état du chemin, il peut être plus intéressant de marcher parallèlement à celui-ci, le plus souvent sur la gauche.


3e section, 10e volet de la fiche.
Texte publié :
"Au sommet d'un raidillon, on découvre bientôt, droit devant, la tour d'un petit château d'eau.
Une centaine de mètre avant ce château d'eau, on s'engage, à droite, sur un petit sentier assez raide qui permet de gravir le talus. Au sommet de celui-ci, le sentier s'incurve vers la droite, reprenant la direction du terril."

Situation en avril 2010 :
Ne pas tenir compte d'une série de flèches rouges peintes sur les arbres. Au sommet du premier talus, il faut bien suivre vers la droite le sentier qui reprend la direction du terril.


3e section, 10e volet de la fiche.
Texte publié :
"On croise bientôt une allée asphaltée, on continue tout droit sur un chemin empierré.
On passe à hauteur de rochers, à main droite, et d'une ouverture grillagée.
On refranchit le ruisseau après une série de jolis méandres, et à la bifurcation on poursuit vers la gauche, continuant à longer le ruisseau.
Le chemin commence à s'élever."

Situation en mai 2016 :
600 mètres environ après avoir croisé l'allée asphaltée, on parvient à une digue construite récemment. Cette digue, qui mesure 6,25 m de hauteur, est destinée à réguler le débit du ruisseau pour éviter les inondations en aval (notamment dans le village de Wasmes). En cas de très fortes pluies, le sentier qui traverse cette zone sera donc immergé. Il faudra alors longer cette zone par une piste parallèle et rejoindre, au sommet de la digue, le sentier balisé.


4e section, 11e volet de la fiche.
Texte publié :
"Après 400 mètres, juste avant un bosquet de peupliers, on vire à gauche, sur un étroit sentier qui longe une clôture. Il se glisse entre prairie et boqueteau."

Situation en juillet 2012 :
Les peupliers ont été coupés, il n'y a plus de bosquet, mais un reboisement sauvage.
On tourne donc à gauche, juste après la prairie, longeant sa clôture. Par suite des conditions climatiques, de hautes herbes peuvent en saison recouvrir ce sentier.

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Rando n° 26 - Montignies-sur-Roc






1e section, 5e volet de la fiche.
Texte publié :
"A l'embranchement que l'on rencontre à l'orée du bois, on poursuit sur la droite, par un chemin muni d'une barrière. On dépasse aussitôt un chemin herbeux à gauche.
Un peu plus loin, on dépasse à nouveau un chemin à gauche. Après 300 mètres environ, à hauteur de deux chemins herbeux formant un "V" sur la droite, on tourne à gauche sur un chemin très herbeux, assez sauvage."

Situation en juin 2012 et mise à jour 2015 :
Ce "chemin très herbeux, assez sauvage" a été interdit au public,  est devenu impraticable et n’est plus visible d’ici.
On continue donc tout droit, négligeant ensuite plusieurs voies latérales. 400 mètres plus loin, on croise un chemin balisé ; on continue tout droit. 300 mètres encore, et l’on parvient à un embranchement, au lieu-dit "A la Grande Avierge" (petite potale sur un arbre, et cabane en bois à proximité sur la gauche). On tourne alors à droite à angle aigu, sur un sentier forestier, retrouvant ici l’itinéraire initial.
Suite : cfr la description de l'itinéraire, 6e volet de la fiche : " On parvient ensuite à un croisement. On tourne à gauche, en descente."

Cette modification diminue la longueur de l'itinéraire d'environ 900 m.


3e section, 9e volet de la fiche.
Texte publié :
"On tourne à gauche, pour contourner par la gauche les bâtiments et un parking. Après avoir dépassé ceux-ci, on vire à droite, juste avant une habitation privée. On passe devant la Maison Verhaeren, portant, en médaillons, les effigies de Marthe et d'Emile, et devant le "Foyer Culturel Emile Cornez".
Ce musée a malheureusement dû fermer ses portes en 2004, par manque de financement. Il en résulte une dégradation de divers éléments du site, notamment du "circuit des pierres"[situation en fin d'année 2009]."

Situation en 2012 :
Cet ensemble, rebaptisé Site Provincial "Le Caillou", est géré par la Province de Hainaut et abrite dorénavant le "Centre Provincial d’Hébergement et de Formation de Cadres".
Le musée a rouvert ses portes en 2010 sous la forme d'un "Espace muséal Emile Verhaeren". Il s'agit d'un espace de 60 m² où se tient une exposition permanente consacrée au poète. Cet espace est ouvert d'avril à octobre, les samedis, dimanches et jours fériés, de 15h à 17h30, ainsi que sur demande (tél. 065 52 92 90 ou 0476 598 266).
Une remise à neuf des 24 pierres où sont gravés des vers d'Emile Verhaeren a été entreprise.




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Rando n ° 27 - Lobbes


Rectification :
La longueur est de 23,700 km pour l'itinéraire normal, et de 24,100 km pour la variante.


1e section, 7e volet de la fiche.
Texte publié :
" Il nous ramène dans le bois. On néglige, à gauche et à droite, plusieurs voies (ou amorces de voies) de débardage.
On dépasse un chemin venant de gauche, et l'on débouche sur un chemin empierré. On le suit vers la droite."

Précision :
" Il nous ramène dans le bois. On néglige, à gauche et à droite, plusieurs voies (ou amorces de voies) de débardage.
On dépasse un chemin venant de gauche. Notre chemin devient bientôt un chemin empierré. "


3e section, 11e volet de la fiche.
Texte publié :
"Dans la courbe qui suit, on quitte provisoirement le chemin pour prendre, à gauche, à angle aigu (flèche indicatrice fixée en hauteur sur un arbre), un sentier qui conduit à un point de vue sur la vallée et le beffroi de Thuin."

Situation en 2011:
Dans cette courbe, notre chemin s'est dédoublé. Comme le point de vue se situe sur la gauche, on néglige naturellement le dédoublement à droite.



3e section, 12e volet de la fiche.
Texte publié :
"On longe l'écluse de Thuin, on passe devant le Café de la Marine."

Situation en mars 2017 : 
Cet établissement n'existe plus.


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Rando n° 28 - Ragnies




2e section, 5e volet de la fiche.
Texte publié :
"On poursuit par la grande allée qui fait face au château, bordée de peupliers et de conifères. On débouche sur un grand chemin asphalté (plaque : rue du Trou de Leers), on continue tout droit."

Situation en 2012 :
Ce grand chemin asphalté s'appelle maintenant "rue du Marquis".


2e section, 7e volet de la fiche.
Texte publié :
"Après 850 mètres environ, on parvient à une bifurcation. On tourne à droite.
On suit cet empierré pendant près d'un km, (…)"

Situation en avril 2010 :
Ce chemin empierré a été asphalté.


2e section, 7e volet de la fiche.
Texte publié :
"Nouveau carrefour avec une route. On continue tout droit, en léger décalage vers la droite, à côté d'une maison isolée en briques rouges, sur un chemin grossièrement empierré et partiellement herbeux."

Situation en décembre 2015 :
Cette maison a été entièrement rénovée et est maintenant en briques blanches.


3e section, 8e volet de la fiche.
Texte publié :
On dépasse le lieu-dit "le Parnasse". A la sortie du village, on découvre les "jardins suspendus" de Thuin.

Correction :
On dépasse le lieu-dit "le Parnasse". A la sortie du virage, on découvre les "jardins suspendus" de Thuin.


3e section, 9e volet de la fiche.
Texte publié :
"En cas de petite faim : un restaurant, "L'Amie Bio",  Grand-Rue 1 (en face de l'esplanade du beffroi), est un endroit  convivial pour une restauration légère. (Fermé le mardi en juin, juillet, août ; le lundi et le mardi durant les autres mois.)"

Situation en 2015:
Cet établissement a été remplacé par une brasserie-restaurant.


4e section, 12e volet de la fiche.
Texte publié :
"Une courte montée nous mène à la voie ferrée, à hauteur de l'ancien moulin.
Cette voie ferrée est celle de l'ancienne ligne 109, aujourd'hui désaffectée, qui reliait Thuin à Chimay. Il est prévu d'y installer un "RAVeL" reliant Thuin à Biesme-sous-Thuin.
On tourne à droite, suivant ensuite la voie ferrée sans dévier."

Situation en 2012 :
Les travaux de réalisation du "RAVeL" et de remise en état de la voie ferrée (la ligne 109/2) ont débuté à la fin de l'année 2009 et se sont terminés en 2010, modifiant naturellement le site : entre les gares de Thuin et de Biesme-sous-Thuin, le nouveau RAVeL côtoie une voie où circule maintenant un tramway touristique.
Selon l'horaire publié en 2012, ce tramway touristique circule au rythme d'un tram toutes les heures, l'après-midi, les samedis en juillet et août, ainsi que les dimanches et jours fériés.

Quand faut-il quitter ce RaVel ? Après 1700 mètres environ.
Points de repères : après 950 mètres, une maison isolée ; 570 mètres plus loin, un pont sur la Biesmelle ; 180 mètres plus loin, un autre pont sur la Biesmelle. On quitte le RaVel juste après ce pont, pour prendre, sur la droite, un chemin herbeux parallèle à la voie.

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Rando n° 29 - Walcourt




1e section, 5e volet de la fiche.
Texte publié :
"Au croisement qui se trouve au bas de la descente, à côté d'une cabine électrique en briques rouges, on tourne à gauche vers la rive du lac, et l'on suit celle-ci vers la gauche.
A l'extrémité du lac, on tourne à droite et l'on suit au plus près la rive du lac jusqu'à la lisière d'un bois (le bois de Spèche)."

Situation en octobre 2016 :
L’interdiction s’adresse aux touristes qui viennent s’installer au bord du lac, et non aux randonneurs paisibles qui se dirigent vers le bois de Spèche.


1e section, 7e volet de la fiche.
Texte publié :
"La vigilance est requise ici pour éviter de prendre l'une ou l'autre "fausse piste" qui ne mènerait qu'à des fourrés ou à la rive du lac."

Situation en octobre 2016 :
Pour l'instant, le risque de prendre une "fausse piste" n'existe plus. Les sous-bois sont en effet envahis par les ronces, qui recouvrent ces petits sentiers.
À noter que "notre" sentier a été débarrassé des ronces qui commençaient à l'envahir.


2e section, 7e volet de la fiche.
Texte publié :
Dans le 1er virage, juste après le panneau indiquant "EH02A", on prend à gauche un sentier discret, qui monte dans le bois des Maréchaux.

Précision :
Dans le 1er virage, juste après le panneau indiquant "EH01A / EH02A"…


2e section, 7e volet de la fiche.
Texte publié :
"Le chemin remonte ensuite vers la gauche, puis vire vers la droite ; on néglige un chemin en montée sur la gauche, puis des voies de débardage."

Situation en octobre 2016 :
Le développement des ronces oblige à faire un détour par la gauche, comme suit :
Le chemin remonte ensuite vers la gauche. On croise un ancien chemin creux, envahi par de jeunes arbres. On continue sans dévier, sur le replat (piste peu marquée). Après une centaine de mètres, on débouche sur un chemin herbeux. On le suit vers la droite. 180 mètres plus loin environ, on croise un chemin. On tourne à gauche, retrouvant ici l'itinéraire de base. On passe bientôt à côté de la borne de pierre.


2e section, 7e volet de la fiche.
Texte publié :
"Le chemin devient bientôt herbeux, et l'on passe à côté d'une borne de pierre, placée à gauche du sentier.
40 mètres plus loin, on croise un autre chemin. On continue tout droit. Après une quinzaine de mètres, on ignore un chemin sur la droite. On fait de même 15 mètres plus loin. Devenant sentier par moment, le chemin traverse le plateau."

Situation en octobre 2016 :
Les lieux se sont quelque peu modifiés. La situation actuelle est donc la suivante :
On passe à côté d'une borne de pierre, placée à gauche du sentier.
50-60 mètres plus loin, on croise deux autres chemins. On continue tout droit. 50 mètres plus loin, on rencontre un Y. On prend à droite, ignorant un sentier sur la gauche, marqué de flèches rouges, en descente.
Devenant sentier par moment, notre chemin traverse le plateau. Après 60 mètres, on dépasse un chemin venant de droite. On entame une descente. Au Y qui se présente bientôt, on choisit la droite. Cette descente nous ramène au chemin asphalté en bordure du lac.


3e section, 9e volet de la fiche.
Texte publié :
"100 mètres plus loin,  on tourne à nouveau à droite. On franchit le ruisseau Dessous la Ville et l'on entame une montée sur un chemin grossièrement empierré.
Au Y, on poursuit vers la droite. On longe le bois de Seûri."

Situation en mai 2012 :
Ce chemin empierré est maintenant bétonné sur toute sa longueur !


4e section, 12e volet de la fiche.
Texte publié :
"On traverse le bas de la Grand-Place, et l'on passe à côté d'une plaque qui, sur un mur de briques,  évoque le souvenir de Paul Verlaine."




Situation en mai 2012 :
Cette plaque a été enlevée.

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Rando n° 30 - Lompret





2e section. Mise à jour (septembre 2020)

° Repartant dos à l'église, on passe à côté du monument aux morts et, 50 mètres plus loin, on prend à droite une rue en descente, en direction de la forêt. On dépasse aussitôt une potale ajourée consacrée à saint Hubert.
Une petite route asphaltée nous conduit à un Y où se trouve une potale dédiée à saint Joseph. On prend à droite.
On franchit le Ry du Gout  et, au Y qui suit, on poursuit vers la gauche.

Au lieu-dit "Al Baraque", on traverse le site de l'ancien chemin de fer (qui reliait Chimay à Mariembourg), devenu un RAVeL. On passe à côté d'une maison isolée.

° On aborde la forêt par le bois d'Aublain.
40 mètres après la maison isolée, on quitte l'asphalte et l'on s'engage sur un chemin à droite. Il devient rapidement herbeux. On côtoie un ru à main gauche. On rencontre un passage habituellement humide, à négocier au mieux.
Après être resté assez longtemps proche de la lisière du bois, le chemin pénètre plus profondément dans la forêt.
On chemine ensuite à peu de distance d'un ru, à main droite.

° Débouchant sur une petite route asphaltée, on poursuit vers la droite. On entame aussitôt une légère montée.

° Après 400 mètres environ, on rencontre un chemin sur la gauche (on y trouve deux petits panneaux blancs accolés indiquant des numéros de parcelles peu lisibles et, à droite du chemin, une flèche rouge peinte sur un tronc d’arbre). On s’y engage.

On aperçoit bientôt, sur la droite, des bâtiments au-dessus d'une crête : il s'agit de la ferme Robert.
Le chemin descend au fond d'une ravine étroite où coule un petit ru. On y rencontre un passage boueux, à négocier au mieux.
On poursuit en face, le chemin restant sensiblement parallèle à la lisière de la forêt.
Au cours de la montée, le chemin se divise. On reste sur le chemin à droite, sans s'éloigner de l'orée du bois.

° Dans le haut de la montée, on arrive à un embranchement. On tourne à gauche. 
Après 60 mètres environ, on rencontre un Y. Laissant à gauche un chemin de terre, on continue tout droit sur un sentier qui va immédiatement s’incurver vers la gauche. 
On parvient aussitôt à un autre Y.
On poursuit tout droit, par la branche de gauche, dans une allée herbeuse, rectiligne, bordée de conifères. 
250 mètres plus loin, cette allée rejoint un chemin forestier venant de gauche. On continue tout droit, longeant le bois de conifères à main droite, sans jamais y pénétrer, rencontrant quelques passages humides.
Par endroits, ce chemin se réduit à un sentier. Quelques bornes de pierre le balisent. 

° On poursuit parmi des feuillus. Le chemin s'incurve ensuite légèrement vers la droite, et l'on retrouve la lisière des conifères, toujours à main droite (on néglige à droite une voie de débardage). 
On passe à côté d’une borne de pierre (marques de peinture sur celle-ci). On poursuit en légère montée sur un sentier herbeux, longeant toujours la lisière des résineux. 
On passe à côté d’une autre borne.

° Sans quitter la lisière des conifères, on descend ensuite dans un vallon, le sentier devenant assez sauvage. 
30 mètres environ avant d’atteindre le fond du vallon (fangeux), on quitte le sentier et l'on oblique à droite ; on contourne des fourrés par la droite, on franchit le fond du vallon, et l’on revient aussitôt vers la gauche pour retrouver le sentier au-dessus du creux fangeux.

° On redescend dans un autre vallon, on franchit un ru et, obliquant légèrement vers la droite, on retrouve un bon chemin. On le suit vers la gauche, en montée. Celle-ci présente un raidillon, court mais rude.

° Quelques mètres avant un grand embranchement, on tourne à gauche sur un chemin forestier assez sauvage (quelques ronces).

Lorsque ce chemin vire vers la droite, envahi plus loin par la végétation, on oblique à gauche pour rejoindre une allée herbeuse, toute proche, que l'on suit vers la droite, en montée.

° On débouche sur un chemin empierré, à gauche d'un grand embranchement.
Tous les chemins à droite étant interdits, on tourne à gauche.
300 mètres plus loin, on rencontre une table avec bancs, au pied d'une minuscule potale accrochée à un arbre.

° On croise bientôt une petite route asphaltée. On continue tout droit.
On néglige plusieurs chemins latéraux. 
Après 300 mètres environ, on arrive à un endroit où notre chemin se dédouble en deux voies relativement parallèles. La voie de gauche étant devenue impraticable, on choisit la voie de droite : une allée herbeuse, large et quasi rectiligne. Selon la saison, on peut y rencontrer quelques passages humides.
Juste avant un léger creux situé une quarantaine de mètres avant un grand fossé, on quitte l’allée et l’on s’engage à droite sur un chemin forestier. Ce chemin vire ensuite vers la gauche, franchissant un creux.

° On débouche ainsi sur une voie herbeuse, presque à l’orée du bois. On tourne à droite. 
160 mètres plus loin environ, quittant la voie herbeuse, on effectue un gauche – droite pour poursuivre dans le bois, sur un sentier parallèle à la lisière de celui-ci. 
Cette parcelle, où se mêlent résineux et feuillus, fait bientôt place à une pessière, qu'on longe par la droite sur quelques dizaines de mètres.

° Juste avant un creux boueux, on tourne à gauche sur un sentier en bordure de la lisière des épicéas. 
Ce sentier, encombré par endroits de branchages abandonnés, est assez sauvage et comporte plusieurs passages habituellement humides. Selon son état, il peut parfois être plus avantageux de le longer en parallèle sur la gauche, sous les épicéas.

° Après 300 mètres environ, on parvient à un embranchement : sur la gauche, un bon chemin, en montée ; en face, un sentier qui après quelques mètres disparaît dans les fourrés ; à droite, un chemin qui descend vers un ru. On tourne alors à gauche, en montée, entre deux parcelles d’épicéas.
Après 170 mètres environ, on dépasse un chemin à gauche, et l'on néglige un chemin à droite.  

° Juste avant la lisière du bois, on tourne à droite sur un chemin forestier. 
En 2020, ce chemin était fortement dégradé par le passage d’engins de débardage. 

Après un parcours quasi rectiligne d’environ 550 mètres, on débouche sur un autre chemin forestier, près du coin d’une prairie située sur la gauche.
On tourne à gauche. 15 mètres plus loin, on tourne à droite, à angle droit, reprenant ainsi notre direction initiale.

° 300 mètres plus loin, on arrive à un grand embranchement. On poursuit en face, sur le même chemin, celui-ci obliquant vers la gauche.

Une descente conduit à la traversée d'un petit ru, à laquelle succède une remontée.
On longe une prairie à main gauche, sur un chemin herbeux, et l'on débouche sur une route, la N589. On tourne à gauche. 

° Bénéficiant d'un large bas-côté herbeux, on arrive, après 250 mètres, à la hauteur de la ferme Pirlot. Traversant la route, on prend, à droite, un chemin asphalté rectiligne, la rue du Bois le Comte.

Après 1500 mètres environ, on commence à longer, à main gauche, le bois de Nogereule (bois privé).

250 mètres plus loin, on atteint la lisière d’un autre bois : la Taille du Vivier.
Quelques mètres avant le panneau routier  « Froidchapelle » (placé en sens inverse par rapport à notre marche), on tourne à gauche sur un chemin de terre, franchissant d’abord un petit fossé.


3e section, 9e volet de la fiche.
Texte publié :
"Quelques mètres avant les panneaux routiers "Virelles" et "Froidchapelle", on tourne à gauche sur un chemin de terre.
Après une centaine de mètres, on vire à droite vers un bois de conifères. 10 mètres plus loin, on tourne à gauche sur un sentier qui va longer ce bois.
Ce sentier, qui sépare la Taille du Vivier du bois de Nogereule, va bientôt être jalonné par des bornes de pierre et par des marques de peinture blanche sur les arbres."


Situation en juillet 2016 :
Le panneau « Virelles » a disparu.

Situation en septembre 2020 :
Quelques mètres avant le panneau routier  « Froidchapelle » (placé en sens inverse par rapport à notre marche), on tourne à gauche sur un chemin de terre, franchissant d’abord un petit fossé.
Après une centaine de mètres, on oblique à droite vers un bois de conifères. 10 mètres plus loin, on tourne à gauche sur un sentier qui va longer ce bois. On oblique ensuite à nouveau vers la droite pour rejoindre la grande allée forestière de la Taille du Vivier, jalonnée par des bornes de pierre et par des marques de peinture blanche sur des arbres.


3e section, 10e volet de la fiche.
Texte publié :
"Sur ce sentier, quelques ronces, en saison, se contournent par la gauche. »

Situation en septembre 2020 :
Ces ronces (et de la végétation) se sont développées à quelques endroits. On les contourne sans difficulté tantôt par la droite, tantôt par la gauche, revenant bien vite sur le sentier quitté.


3e section, 11e volet de la fiche.
Texte publié :
"Le parcours se poursuit par une descente assez raide sur un sentier accidenté."

Situation en juillet 2016 :
Au cours de cette descente on néglige un sentier à droite.


3e section, 11e volet de la fiche.
Texte publié :
"On passe bientôt au pied d'un groupe de rochers, puis d'un second où se trouve une plaque commémorative rappelant le décès accidentel d'un adolescent en août 1994."



Situation en mai 2010 :
En plus de la plaque commémorative, il y a maintenant une croix. On y retrouve la phrase "J'ai perdu la vie en m'amusant"…





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Rando n° 31 - Nismes




2e section, 8e volet de la fiche.
Texte publié :
"Après quelques mètres, ce petit sentier s'incurve vers la droite. Son parcours devient quasi horizontal."

Situation en 2015 :
Sur ce parcours, on néglige un sentier en montée sur la gauche.


2e section, 8e volet de la fiche.
Texte publié :
"On pénètre dans un bois de conifères, où l'on continue tout droit. On suit alors une vague piste, à peine visible, qui serpente entre les troncs, restant plus ou moins parallèle au sommet de la ravine qui se trouve à main droite.

Au bout de ce cheminement, évitant de descendre le talus, on oblique à gauche et l'on débouche sur un chemin que l'on suit vers la droite, en descente."

Situation en avril 2018 :
Avant d’obliquer à gauche pour rejoindre le chemin, on longe une zone déboisée. 


2e section, 9e volet de la fiche.
Texte publié :
"La descente se termine, et l'on poursuit tout droit, attaquant maintenant une montée sur un chemin herbeux."

Situation en 2015 :
Ce chemin herbeux, partiellement envahi par des genêts, traverse une vaste zone déboisée, partiellement replantée de jeunes conifères. Le début de ce chemin pouvant être très humide, on doit habituellement faire un petit détour par la droite.





3e section, 10e volet de la fiche.
Texte publié :
"Au premier Y, on continue tout droit, par la branche de gauche.

Précision :
Le Y en question se situe environ 400 mètres après la Baraque du Coq.


3e section, 10e volet de la fiche.
Texte publié :
"Négligeant plusieurs chemins latéraux, on parvient plus loin à une clairière qui peut être humide et boueuse. (Elle constitue alors un lieu de rendez-vous de sangliers dont les traces sont nombreuses.)
A cet endroit, on ignore deux chemins à gauche et on continue tout droit, sur un petit chemin partiellement herbeux, qui amorce une descente 150 mètres plus loin environ."

Situation en mai 2010 :
Dans cette petite clairière, quittant le chemin qui oblique vers la gauche, on poursuit tout droit, tenant la droite, sur un petit chemin partiellement herbeux. Ce chemin amorce une descente 150 m plus loin environ.
Au cours de cette descente, juste avant de dépasser un chemin venant de droite, on rencontre un panneau indiquant "Briolet".


3e section, 10e volet de la fiche.
Texte publié :
"Cette descente mène à une route asphaltée, que l'on prend vers la gauche mais que l'on quitte aussitôt pour prendre, à gauche, un chemin de terre qui longe le ruisseau de Nouée."

Rectification :
Ce chemin de terre (partiellement empierré) ne commence à longer le ruisseau de Nouée qu'après une centaine de mètres.


3e section, 11e volet de la fiche.
Texte publié :
"Le chemin vire bientôt à gauche. On dépasse un chemin à gauche, et l'on poursuit tout droit. Le chemin fait bientôt place à un étroit sentier."

Situation en mai 2010 :
Le chemin à gauche que l'on dépasse n'est plus - actuellement - qu'un sentier.


4e section, 11e volet de la fiche.
Texte publié :
"On tourne à droite, passant devant l'abri, et l'on continue tout droit, négligeant deux chemins sur la gauche, et un autre sur la droite.
On suit ce chemin sans dévier jusqu'au bout du plateau…"

Situation en mai 2010 :
Il y a eu ici de gros travaux forestiers, et plusieurs voies de débardage ont été créées. L'une d'elles longe notre chemin sur la droite.
Notre chemin a également été parcouru par des engins lourds qui y ont laissé de profondes ornières. Il faut veiller à le suivre sans dévier jusqu'au bout du plateau, où il entame une descente.


4e section, 12e volet de la fiche.
Texte publié :
"On rencontre ensuite un passage pouvant être très humide. On poursuit sur un chemin encaissé, en montée, partiellement envahi par la végétation."

Situation en avril 2018 :
On rencontre ensuite un passage pouvant être très humide. On poursuit en obliquant à gauche sur un chemin encaissé, en montée, dont les premiers mètres sont rocailleux.


4e section, 12e volet de la fiche.
Texte publié :
"Au terme d'une longue montée, on croise un sentier dans une allée herbeuse. On le suit vers la droite."

Situation en mai 2010 :
Par suite du passage de véhicules, ce sentier s'est dédoublé, formant deux pistes parallèles.


4e section, 12e volet de la fiche.
Texte publié :
"On parvient ainsi à un replat. On dépasse une voie herbeuse à main droite, et au croisement, 10 mètres plus loin, on tourne à gauche."

Situation en mai 2010 :
Toute cette zone a été déboisée et replantée de jeunes arbrisseaux. 

Situation en avril 2017 :
La voie herbeuse à droite n'est plus visible.


4e section, 12e volet de la fiche.
Texte publié :
"Après 700 mètres environ, on rencontre un croisement. (Attention à ne pas le rater !)
On tourne à gauche. On parvient aussitôt à un grand embranchement. On continue tout droit sur un sentier (balise : marquage GR)."


Situation en avril 2018 :
Le croisement n’est plus visible, le chemin latéral étant envahi par la végétation.
La situation se présente maintenant comme suit :

Après 750 mètres environ, on tourne à gauche à angle aigu. Après 40 mètres, on parvient à un grand embranchement. On tourne à droite sur un sentier (balise : marquage GR).



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Rando n° 32 - Olloy-sur-Viroin


1ère section, 5e volet de la fiche.
 Texte publié :
« On parvient ainsi à hauteur d'une carrière toujours en activité : la carrière de Frimoye. On la dépasse, et l'on côtoie bientôt le chemin de fer.
A l'exception de petits transports locaux, n'y circule plus aujourd'hui qu'un train touristique, celui du Chemin de Fer à Vapeur des Trois Vallées. Entre Pâques et octobre, il vous arrivera peut-être de le voir, ou de l'entendre siffler…
Au Y, on tourne à droite, en montée. »

Situation en 2015 :
Peu avant ce Y, on néglige à droite un chemin de débardage.


1ère section, 6e volet de la fiche.
Texte publié :
"On parvient alors à un embranchement en Y où le chemin principal fait un virage vers la droite. Nous le quittons, poursuivant tout droit par la branche de gauche du Y (balise : rectangle rouge et blanc)."

Situation en 2012 :
Ce chemin s’est dédoublé.


1ère section, 6e volet de la fiche.
Texte publié :
" Ce sentier va nous conduire au lieu-dit "La Roche aux Faucons" (panneau).
Cette Roche, où se trouve un intéressant point de vue, se situe en fait à une trentaine de mètres sur la gauche. Pour y accéder, il faut donc faire un aller-retour (une certaine agilité et un pied sûr sont nécessaires). On descend d'abord quelque peu, on contourne un premier rocher par la gauche ; on peut traverser le second par une brèche, ou le contourner par la gauche ; ensuite l'on gagne le sommet de la Roche. Il y a lieu, bien entendu, de se montrer ici particulièrement prudent ! "

Situation en février 2010 :
Un nouveau sentier a été tracé, donnant un accès direct à la Roche aux Faucons. Ce sentier, très raide, est dangereux (affleurements rocheux pouvant être glissants).
Il est conseillé de négliger ce sentier, et de prendre l'ancien sentier, plus étroit, qui se situe plus à droite.
Pour le retour, il peut être préférable de passer par la petite brèche rocheuse, même si ce passage, un peu plus escarpé, nécessite l'emploi des mains.




2e section, 8e volet de la fiche.
Texte publié :
"On tourne ensuite à droite en direction de l'église Saint-Lambert. On passe devant l'Office du Tourisme."

Situation en 2015 :
L’Office du Tourisme a déménagé.


2e section, 8e volet de la fiche.
Texte publié :
"Juste après celle-ci, on traverse les voies de chemin de fer, et l'on poursuit en longeant le Viroin sur un beau sentier (balise : toujours le rectangle rouge et blanc).
Quelques passages se révèlent accidentés (affleurements rocheux, racines)."

Situation en novembre 2015 :
Des travaux forestiers, en septembre 2015, ont transformé ce sentier en un chemin défoncé par les engins de débardage.



3e section, 10e volet de la fiche.
Texte publié :
"40 mètres plus loin, on tourne à droite, grimpant quelques marches d'escaliers (balise : rectangle bleu et blanc). On se trouve alors devant un raidillon… très raide.
Il ne faut pas aborder la première partie en ligne directe, mais s'élever en faisant un crochet  par la droite, où la pente est moins sévère."

Mise à jour (2012) :
Toute cette pente est maintenant équipée de beaux escaliers !




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